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Les Steph

5 février 2007

Réflexions

Réflexions sur l'unité d'apprentissage

Nom de l'équipe: Les Steph

Noms et codes WebCT des membres de l'équipe: Stéphanie Morin (mors22)

                                                                             Stéphanie Lafleur (lafs21)

URL du Blog où se trouve l'unité d'apprentissage

http://deuxsteph.canalblog.com/ 

Préparation à l'observation

Quelle estimation faites-vous du temps requis pour effectuer cette section de votre scénario ?

Pour un petit groupe d’élèves de première année du troisième cycle, nous estimons que le temps requis pour effectuer cette activité est d’une durée de trente minutes. Cependant, pour une collègue de notre classe, nous croyons que le temps nécessaire est de dix minutes.

Croyez-vous que vous devrez intervenir fréquemment pour guider vos collègues dans la poursuite de l’activité ?

Nous pensons qu’en les introduisant dans le contexte (mise en situation de notre activité), il n’est pas nécessaire de les guider. La plupart d’entre nous connaissent le jeu basé sur la réalisation de notre activité.

Croyez-vous que vous devrez intervenir fréquemment pour guider un élève du primaire ou du préscolaire dans la poursuite de l’activité ?

Nous savons que, bien souvent, les élèves du primaire ont besoin de se sentir sécurisés par l’enseignant (e). Ainsi, en raison de leur liberté d’écriture, peut-être ressentiront-ils de l’inquiétude et auront quelques questions (la recherche sur Internet pour l’image qu’ils doivent insérer).

Observation de l’activité

Noms des personnes qui ont participé à votre observation:

Participante 1 (Introduction) : Andrée-Ann Dionne

Participante 2 (Déroulement) : Manon Thibodeau

Quel est le temps requis pour faire votre activité ?

Participante #1 (Andrée-Ann Dionne)

Andrée-Ann a pris environ dix minutes pour composer sa partie de l’histoire (neuf lignes) et pour trouver son image.

Participante #2 (Manon Thibodeau)

Manon a pris environ huit minutes pour rédiger ses quelques lignes (sept lignes) et pour trouver son image.

Combien de fois avez-vous dû intervenir pour clarifier votre activité ou expliquer comment utiliser les ressources informatiques ?

Participante #1 (Andrée-Ann Dionne)

Nous n’avons intervenu aucune fois.

Participante #2 (Manon Thibodeau)

Encore une fois, nous n’avons pas dû intervenir.

Réflexion

Après avoir observé quelqu’un faire votre activité, est-ce vous y changeriez quelque chose ?

Après avoir observé nos deux participantes, nous avons constaté que nous devrions améliorer notre activité. En effet, nous avions suggéré de laisser comme indice la dernière phrase du texte précédant. Cependant, nous avons remarqué que cette trace fournissait trop d’informations à l’autre participante qui devait poursuivre la rédaction. Donc, nous proposons de laisser seulement un mot significatif (par exemple le terme «gaffe»). L’image, qui accompagne le texte, est toutefois une piste raisonnable.

Croyez-vous qu’un enseignant pourrait suive la description de votre activité telle quelle ou devriez-vous ajouter des informations pour la rendre plus claire ?

Pour un enseignant (e) qui ne connaît pas le jeu avec lequel nous nous sommes inspirées, il est peut-être probable que nous devrons lui fournir de plus amples informations dans la mise en situation. Nous avons pris pour acquis que la majorité des gens connaît les directives de ce jeu. De ce fait, notre préparation à l’activité est peut-être un peu brève. La mise en situation est l’étape la plus importante pour construire une leçon et pour créer un contexte propice à la réalisation de l’activité.

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1 février 2007

Histoires Rocambolesques

Unité d'apprentissage

Ce lien nous a permis d'élaborer notre idée de notre unité d'apprentissage:

http://membres.lycos.fr/cm2hboucher/cm2/jeudecriture.htm

Nom de l'équipe: Les Steph

Noms et codes WebCT des membres de l'équipe :   Stéphanie Morin (mors22)

         Stéphanie Lafleur (lafs21)

Titre

Histoires rocambolesques

Matière(s) & Cycle(s)

Domaine des langues

Français, langue d’enseignement

Première année du troisième cycle

Composantes de la compétence TIC

S’approprier les technologies de l’information et de la communication

Au troisième cycle, les enfants connaissent la fonction de la souris. Ils sont capables de s’en servir efficacement. Cependant, ce n’est pas tous les élèves qui sont en mesure d’utiliser Microsoft Word. Dans cette activité, ils devront, avant tout, se familiariser avec ce logiciel de traitement de texte. Avant de commencer à rédiger, ils pourront l’explorer dans l’ensemble de ses facettes.

Utiliser les technologies de l’information et de la communication pour effectuer une tâche

Lorsqu’ils auront exploré suffisamment le logiciel pour la rédaction de leur partie de l’histoire, avec l’aide de l’enseignant (e) ou non, ils pourront commencer à rédiger. Ils devront chercher via Internet, plus précisément grâce à un moteur de recherche par exemple Google, des images associées à leur texte. Pour les insérer dans le document, ils utiliseront la fonction copier/coller. Finalement, ils sauvegarderont régulièrement leur histoire pour ne pas la perdre.

Évaluer l’efficacité de l’utilisation de la technologie

Lorsque l’activité sera terminée, il sera intéressant de constater les limites de la technologie, leurs forces ainsi que les améliorations à y apporter. C’est les élèves qui devront se prononcer sur ce sujet. Ils pourront s’exprimer librement devant les autres.

Compétences en français

Lire des textes variés

L’enfant réagit différemment face à un texte loufoque comparativement à un autre type de texte. Aussi, il l’interprète à sa façon en utilisant ses propres stratégies de compréhension. 

Écrire des textes variés

À ce stade, l’enfant est capable d’utiliser des stratégies de rédaction efficaces lui permettant de construire sa partie de l’histoire. C’est en rédigeant un texte loufoque qu’il apprend à s’exprimer dans différents contextes.

Communiquer oralement

L’élève sera en mesure de s’exprimer ouvertement en y apportant des éléments prosodiques efficaces. Il devra défendre son point de vue tout en respectant celui des autres. C’est pourquoi il apprendra, peu à peu, à écouter ses coéquipiers. La construction de l’histoire éveillera son intérêt. Il pourra davantage partager ses idées puisque le sujet l’intéressera (le thème sera choisi en classe par les élèves).     

Description de l’activité

Durée anticipée de l’activité

L’activité est échelonnée du lundi au jeudi, c’est-à-dire une période de rédaction d’une demi-heure par jour. La dernière journée, vendredi, l’enseignante réserve la dernière demi-heure pour la présentation de l’histoire finale.

Mise en situation

Pour amener les élèves à bien intégrer les règles de l’activité, l’enseignant(e) propose une lecture d’un jeu qui va dans le même sens que l’exercice. Il s’agit d’un divertissement où les personnes construisent une histoire en écrivant, l’une après l’autre, une ou deux phrases sur une feuille. L’individu qui écrit sa partie replie la feuille sur celle-ci et ne laisse qu’un indice pour indiquer ce qu’il arrivera (péripéties : où, comment ou qui). L’enseignant(e), qui a préalablement composé une brève histoire loufoque avec ses collègues, la raconte à la classe. Cette préparation a pour but d’amener les enfants à comprendre le fonctionnement de la future activité.

Contenu / Déroulement

En grand groupe, les élèves décident d’un thème pour la rédaction de leur histoire. Par la suite, ils se rassemblent en quatre petits groupes de cinq. Aléatoirement, l’enseignant (e) leur attribue une journée de rédaction. Pour composer leur partie de l’histoire, les enfants doivent utiliser un logiciel de traitement de texte (Microsoft Word) et chercher via Internet une image pour soutenir leur idée. D’ailleurs, pour insérer celle-ci à leur texte, ils utiliseront la fonction copier/coller. S’il y a un parmi l’équipe qui comprend un peu moins bien comment fonctionne un ordinateur, il peut regarder ce que fait celui qui s’occupe de taper le texte. En usant de leur créativité, les enfants composent leur petit texte (minimum de cinq phrases et maximum de quinze phrases, critères préétablis par l’enseignant (e)). Pour laisser place à l’imagination, les équipes ne dévoilent pas leur texte. Cependant, pour maintenir une certaine continuité dans l’histoire, le groupe d’élèves donne comme indice la dernière phrase de leur texte ainsi qu’une image venant l’appuyer. De plus, la première équipe compose l’introduction, la deuxième et la troisième s’occupent du développement (déroulement de l’histoire) et la dernière rédige la conclusion. Les autres équipes poursuivent l’histoire de cette façon et ainsi de suite… Finalement, la cinquième journée, l’enseignant (e) procède à la lecture de l’histoire finale.

Réinvestissement

À la suite de la lecture, les élèves se regroupent avec leur équipe de rédaction pour une discussion collective. Ils peuvent ainsi émettre leurs commentaires, leur appréciation ou leur insatisfaction, leurs difficultés et leurs forces. Avec des interventions de l’enseignant (e), ils sont aussi en mesure de réaliser qu’ils n’ont pas uniquement composé une histoire, mais qu’ils ont appris à collaborer, à échanger leurs idées et à concilier leur opinion avec leurs pairs. L’enseignant (e) peut donc constater les points à améliorer ou à conserver lors d’une prochaine activité. Cet échange permet non seulement une rétroaction pour l’instituteur, mais également pour les élèves.

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